La fusion de l’AOFB et de l’AJCV est devenue réalité après nos deux assemblées générales d’avril et juin 2018. La nouvelle association ACVJB va bien au-delà de leur simple fusion. Elle part, tout d’abord, du constat que nous résidons, du secteur Fournel Badine jusqu’au cœur de ville de JUAN LES PINS, dans un même cadre de vie incluant notre célèbre station balnéaire.
L’ACVJB résulte de l’inquiétant constat de la dégradation de cette cité balnéaire, mais aussi d’un espoir, d’une ambition, pour ce site qui reste un fleuron du tourisme français.
Juan les pins c’est, en effet, un des bords de mer les plus beaux de la côte d’azur : un climat exceptionnel, le plus long linéaire de plages de sable, des paysages de carte postale, avec en toile de fond, le cap d’Antibes, les iles de Lérins, la baie de Cannes, l’Esterel et la colline de Vallauris.
Nous sommes donc d’autant plus motivés à sauver ce site remarquable et à en finir avec les immeubles de qualité médiocre, les hôtels à l’abandon, les rues étroites étouffées par les véhicules en stationnement, le sous-équipement en parkings et en installations culturelles.
Tout en conservant les jolies villas présentes dans notre quartier, nous souhaitons des petits immeubles de qualité, ainsi que des plans de circulation fluide et d’investissement en parkings étagés.
Juan les pins n’est pas un quartier comme un autre. Notre commune n’ira pas de l’avant si elle avance d’un seul pied ; elle doit avoir une ambition pour ses deux cœurs de ville, comme en atteste sa dénomination : ANTIBES JUAN LES PINS.
Tout en affirmant notre présence avec d’autres associations comme ELAN aux réunions de notre Conseil de Quartier et au sein du Conseil de Développement C2D, nous avons préparé un document qui a pour ambition de contribuer au Livre Blanc Antibes 2040 comme le maire nous invite à le faire au débat-forum du 24 novembre 2018 au Palais des Congrès pour un appel à idées et à propositions et donc une contribution au Livre-Blanc Antibes 2040 : « Dans quelle ville souhaitons-nous vivre dans 10 ou 15 ans ? C’est au travers d’un débat citoyen que cette réponse doit être apportée et je vous demande donc de bien vouloir y participer dans un esprit de défense de l’intérêt général ».